Essai Renault Latitude 2011 – Autoplus.fr
Elle est disponible uniquement en motorisation diesel de 150 à 240 ch et nous essayons ici le petit moteur en finition haut de gamme Initiale. De prime abord, l’accueil à bord de cette Latitude Initiale est agréable, avec du cuir jusqu’en haut de la planche de bord, et des équipements à foison. On citera par exemple les sièges massants ou ce ioniseur censé rendre l’air de l’habitacle plus respirable. Mais à ce niveau de gamme, la qualité des plastiques déçoit franchement, surtout au bas de la console centrale. Le 2.0 l dCi de Renault est toujours aussi agréable par sa douceur d’utilisation sous le capot de cette grande berline. Il suffit à obtenir de bonnes relances, mais l’insonorisation laisse à désirer pour le niveau de gamme. A conduire, la direction se montre trop légère sur route, mais le châssis offre un bon compromis confort/tenue de route, privilégiant toutefois le confort. Grâce à son gabarit imposant, les places arrière sont généreuses en termes d’habitabilité. Mais on n’en attendait pas moins… On reprochera quand même une certaine fermeté de la banquette, en contradiction avec l’esprit confort de la voiture. Sur cette finition Initiale, le réglage séparé de la climatisation à l’arrière est compris de série, de même que les stores pare-soleil. Surprise concernant une Renault, le coffre est à malle, et non pas à hayon comme sur les dernières générations de haut de gamme de la marque. Le volume ne fait pas partie des meilleurs de la catégorie avec moins de 500 dm3. Mais le point le plus décevant vient de la finition bâclée, avec une moquette trop fine, et l’absence de garniture sous la plage arrière. Le point faible principal de cette Latitude vient de la qualité de présentation, clairement pas à la hauteur de la catégorie, or ce critère est crucial à ce niveau de gamme. En revanche, l’équipement pléthorique est bien digne de son rang, lui, de même que l’habitabilité, et le tarif pour le coup très accessible face à la concurrence. Reste à apprécier le design, jugé bien fade par certains.
Elle est disponible uniquement en motorisation diesel de 150 à 240 ch et nous essayons ici le petit moteur en finition haut de gamme Initiale. De prime abord, l’accueil à bord de cette Latitude Initiale est agréable, avec du cuir jusqu’en haut de la planche de bord, et des équipements à foison. On citera par exemple les sièges massants ou ce ioniseur censé rendre l’air de l’habitacle plus respirable. Mais à ce niveau de gamme, la qualité des plastiques déçoit franchement, surtout au bas de la console centrale. Le 2.0 l dCi de Renault est toujours aussi agréable par sa douceur d’utilisation sous le capot de cette grande berline. Il suffit à obtenir de bonnes relances, mais l’insonorisation laisse à désirer pour le niveau de gamme. A conduire, la direction se montre trop légère sur route, mais le châssis offre un bon compromis confort/tenue de route, privilégiant toutefois le confort. Grâce à son gabarit imposant, les places arrière sont généreuses en termes d’habitabilité. Mais on n’en attendait pas moins… On reprochera quand même une certaine fermeté de la banquette, en contradiction avec l’esprit confort de la voiture. Sur cette finition Initiale, le réglage séparé de la climatisation à l’arrière est compris de série, de même que les stores pare-soleil. Surprise concernant une Renault, le coffre est à malle, et non pas à hayon comme sur les dernières générations de haut de gamme de la marque. Le volume ne fait pas partie des meilleurs de la catégorie avec moins de 500 dm3. Mais le point le plus décevant vient de la finition bâclée, avec une moquette trop fine, et l’absence de garniture sous la plage arrière. Le point faible principal de cette Latitude vient de la qualité de présentation, clairement pas à la hauteur de la catégorie, or ce critère est crucial à ce niveau de gamme. En revanche, l’équipement pléthorique est bien digne de son rang, lui, de même que l’habitabilité, et le tarif pour le coup très accessible face à la concurrence. Reste à apprécier le design, jugé bien fade par certains.
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